Taïwan, la douce désillusion
Taïwan, Taïwan. Au premier abord, difficile de parler de ce pays quand on ne le connait pas. À part que celui-ci était industriel et chinois, pas d’autres clichés nous venaient en tête et donc rien ne nous destinait à y aller. Et puis, une Philippine végane rencontrée à Boracay nous a influencés, de manière très facile : on mange bien là-bas, parait-il… Ni une ni deux, après quelques recherches sur Internet, nous voilà ultra motivés pour découvrir ce pays dont les paysages ont l’air vraiment pas mal.
Avant toute chose, sachez qu’il serait impoli de dire à un(e) Taiwanais(e) qu’il/elle est chinois(e). Le pays se revendique comme indépendant, bien qu’il appartienne à la République de Chine, et à la date à laquelle nous écrivons, les relations diplomatiques entre la Chine et Taiwan sont très tendues. Voilà donc notre premier cliché rapidement démonté.
Nous arrivons donc, tout feu tout flammes, dans la capitale sans avoir vraiment pris le temps de se renseigner sur le coût de la vie. Dès le premier soir, les prix des hébergements nous font revoir nos plans :
L’idée semble un peu folle mais pas impossible pour nous ! À cela s’ajoute un défi supplémentaire : dormir gratuitement chez l’habitant, de temps en temps, grâce à Couchsurfing.
Économiser car les prix ne sont plus les mêmes qu’en Asie du Sud Est mais aussi, et surtout, rencontrer des locaux pour comprendre la culture du pays. Nous voilà donc partis dans cette nouvelle aventure d’une toute autre dimension qui a certainement sauvé notre voyage sur l’île car en effet, si faire du stop et rencontrer des Taïwanais nous a fait rêver, les paysages nous ont vraiment laissés sur notre fin.
Entre la générosité incroyable des Taïwanais, leur gentillesse et la gastronomie abondante :
Pour conclure, Taïwan c’est la Chine sans ses côtés négatifs qui nous rebutent d’ailleurs d’y aller un jour. En tout cas, si la beauté de l’île ne se cache pas dans ses paysages, elle réside bel et bien dans ses habitants.
Avant toute chose, sachez qu’il serait impoli de dire à un(e) Taiwanais(e) qu’il/elle est chinois(e). Le pays se revendique comme indépendant, bien qu’il appartienne à la République de Chine, et à la date à laquelle nous écrivons, les relations diplomatiques entre la Chine et Taiwan sont très tendues. Voilà donc notre premier cliché rapidement démonté.
Nous arrivons donc, tout feu tout flammes, dans la capitale sans avoir vraiment pris le temps de se renseigner sur le coût de la vie. Dès le premier soir, les prix des hébergements nous font revoir nos plans :
et si on faisait le tour de l’île en stop ?!
L’idée semble un peu folle mais pas impossible pour nous ! À cela s’ajoute un défi supplémentaire : dormir gratuitement chez l’habitant, de temps en temps, grâce à Couchsurfing.
Le but ?
Économiser car les prix ne sont plus les mêmes qu’en Asie du Sud Est mais aussi, et surtout, rencontrer des locaux pour comprendre la culture du pays. Nous voilà donc partis dans cette nouvelle aventure d’une toute autre dimension qui a certainement sauvé notre voyage sur l’île car en effet, si faire du stop et rencontrer des Taïwanais nous a fait rêver, les paysages nous ont vraiment laissés sur notre fin.
Et pourtant…
Entre la générosité incroyable des Taïwanais, leur gentillesse et la gastronomie abondante :
Taïwan nous laissera à tout jamais des étoiles dans les yeux.
Pour conclure, Taïwan c’est la Chine sans ses côtés négatifs qui nous rebutent d’ailleurs d’y aller un jour. En tout cas, si la beauté de l’île ne se cache pas dans ses paysages, elle réside bel et bien dans ses habitants.
➔ On vous partage notre expérience incroyable de volontariat dans une école près de Taipei ici !
On a adoré
La gastronomie chinoise
Recevoir plein de cadeaux de la part des Taïwanais
Les balades en vélo pour visiter les villes
Les gorges de Taroko
Les buffets végétariens
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Recevoir plein de cadeaux de la part des Taïwanais
Les balades en vélo pour visiter les villes
Les gorges de Taroko
Les buffets végétariens
On n’a pas kiffé
La difficulté de louer un scooter
La difficulté à se faire comprendre en anglais (en dehors de la capitale)
Certains locaux qui rotent et crachent
Le prix des hôtels les weekends
Les marchés de nuit
L’échec du stop pour quitter Taipei
La difficulté de louer un scooter
La difficulté à se faire comprendre en anglais (en dehors de la capitale)
Certains locaux qui rotent et crachent
Le prix des hôtels les weekends
Les marchés de nuit
L’échec du stop pour quitter Taipei
Meilleur souvenir |
Pire souvenir |
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Cosy |
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Cheap |
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Faits marquants
Faire du volontariat dans une école
Être invités par les gérants d’un restaurant
Se faire conduire gratuitement en Uber
Être rémunérés pour un shooting photo
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On aurait aimé faire
Orchid Island
Un bain complet dans les sources d’eau chaude
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